Sea Camp/Kontich, 2 janvier 2023. L'ASTARA TEAM affronte son deuxième Dakar avec trois ASTARA 01 CONCEPT, un buggy 2WD de la catégorie T1.3 alimenté par e-fuel, le véhicule le plus léger de sa catégorie. Laia Sanz-Maurizio Gerini, Carlos Checa-Marc Solà et Óscar Fuertes-Diego Vallejo participent au plus haut niveau avec une solution de mobilité efficace et écologique dans le but d'à nouveau être l'équipe la plus durable du Dakar. Le Rallye Dakar 2023 se déroule pour la quatrième année consécutive en Arabie Saoudite et a pris son départ le 31 décembre sur la côte de la Mer Rouge, près de Yanbu al-Bahr, pour se terminer le 15 janvier à Ar-Dammam, sur les rives du Golfe Persique.

Hier, jour de la première étape, la journée s'annonait prometteuse pour les trois pilotes de l'ASTARA TEAM après ayant obtenu de bonnes positions de départ lors du prologue.

Ce fut le cas pour Laia Sanz et son copilote Maurizio Gerini, qui ont terminé à la 21e place après avoir bouclé l'étape en 3 heures, 54 minutes et 51 secondes. Son coéquipier Carlos Checa, copiloté par Marc Solà, a terminé sa première étape en 39ème position après 4 heures 21 minutes et 17 secondes de course. Tous deux terminent l'étape avec un bon sentiment malgré le fait que la première étape ait été plus difficile que prévu.

La journée se termine avec un goût doux-amer en raison de l'accident d'Óscar Fuertes et de Diego Vallejo. Après un premier contrôle médical, les deux sont en bonne santé.

Les pilotes se sont lancés dans une boucle de 603 kilomètres entre la côte et la zone montagneuse parallèle à la mer, dont 235 kilomètres de liaisons et 368 kilomètres de spéciales. Des sections caillouteuses suivies de pistes sablonneuses avec les premières dunes.

Laia Sanz : "Ça s'est bien passé. Nous avons eu un petit problème avec l'autogonflage des pneus ce qui ne nous a pas permis de gagner des places, mais je suis très heureuse de mes sensations. Maurize a fait un bon travail de navigation, je me sentais très à l'aise et nous avons pu pousser fort".

Carlos Checa : "Je pense que c'est un résultat positif et pour le premier jour, nous sommes satisfaits. C'est le premier jour où nous avons roulé, il manque quelques réglages à la voiture que nous allons corriger pour l'étape de demain. C'était une étape difficile avec beaucoup de sable, de rochers... et la navigation n'était pas toujours évidente. Nous nous attendions à une étape plus détendue. Si nous la comparons à celle de l'année dernière, je dirais qu'elle était entre la troisième et la quatrième plus dure".

Óscar Fuertes : "Au kilomètre 73, nous sommes tombés sur une ondulation qui n'était pas indiquée dans le roadbook et qui représentait un danger 2. L'organisation aurait dû marquer un point aussi dangereux, pour des raisons de sécurité. Au moins cela a servi à prévenir ceux qui étaient derrière nous pour qu'ils ne tombent pas dans le même piège".

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